Depuis sa constitution, en 1875, la municipalité de Sainte-Lucie-des-Laurentides a traversé diverses formes de développement et d’urbanisation. Les dernières années ont été marquées par une progression importante du nombre de villégiateurs.

Le territoire de la municipalité de Sainte-Lucie-des-Laurentides est d’une superficie d’environ 110 km2 et est bordé par les municipalités de Lantier, Saint-Donat, Notre-Dame-de-la-Merci, Val-David, Sainte-Agathe-des-Monts, Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson et Entrelacs.

Le territoire de Sainte-Lucie-des-Laurentides inclut la réserve mohawk de Doncaster dont la superficie est d’environ 92 km2. Ce territoire autochtone a été cédé aux Mohawks de Kahnawake et Kanesatake en 1852. Aujourd’hui, la réserve représente essentiellement un territoire de chasse et de pêche.

La municipalité de Sainte-Lucie-des-Laurentides est principalement caractérisée par un territoire de lacs, de forêts et de montagnes où l’on retrouve des paysages et un cadre naturel d’une grande qualité et peu altéré. Secteur peu connu de la région des Laurentides, Sainte-Lucie-des-Laurentides accueille toutefois de nombreux villégiateurs à la recherche d’un havre de paix.

Au centre, un noyau villageois qui offre un potentiel certain pour une communauté active et accueillante où l’on retrouve une vie sociale dynamique s’est également développé par le biais d’organismes communautaires. Le noyau villageois accueille notamment une église patrimoniale datant de 1892.

En arrière-plan, le territoire abrite le majestueux Mont Kaaikop, le 2e plus haut sommet des Laurentides (838 mètres), repère des amateurs de randonnée et de parapente. Le Mont Kaaikop est d’ailleurs reconnu comme un massif montagneux d’intérêt esthétique et récréatif à l’échelle régionale. Réparti sur l’ensemble du territoire, on retrouve un grand nombre de milieux humides et de plans d’eau, dont les plus importants sont les lacs Ménard, Swell, Sarrazin, Dufresne, Legault, McShane, Beausoleil et Saint-Michel.